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Marine Tondellier

À Paris, Lyon et Marseille, de nombreuses personnes se sont rassemblées pour célébrer la disparition de Jean-Marie Le Pen, figure emblématique de l’extrême droite en France.

Jean-Marie Le Pen nous a quittés à l’âge de 96 ans, mardi 7 janvier, dans un établissement des Hauts-de-Seine. Co-fondateur du Front national, devenu Rassemblement national, il a marqué le paysage politique français pendant près de 70 ans. “Tous ces débats me mettent profondément mal à l’aise. Chacun réagit à sa manière. Je comprends la réaction de ceux qui ont été personnellement touchés par ses actions. D’autres préfèrent rester silencieux ou commenter l’événement”, a déclaré Marine Tondellier, secrétaire nationale des Écologistes-EELV.

Jean-Marie Le Pen a été président du Front national pendant 39 ans avant de passer le flambeau à sa fille, Marine Le Pen, en 2011. “Il est important d’exprimer des condoléances, mais le combat politique continue.” a-t-elle ajouté.

Visionnez l’intégralité de l’interview dans la vidéo ci-dessus.

Notre point de vue

Il est significatif de constater que la disparition d’une figure aussi controversée suscite des réactions variées au sein de la société. La mort de Jean-Marie Le Pen n’est pas seulement une fin mais aussi un moment de réflexion pour ceux qui ont été affectés par son discours et ses idéologies. Célébrer sa disparition peut être un acte libérateur pour certains, tandis que d’autres choisissent le silence. Cela démontre la complexité des réactions face à l’histoire politique récente et met en lumière le besoin d’un dialogue respectueux autour des blessures qu’elle a laissées. En se rassemblant, les manifestants rappellent que les luttes pour des valeurs de justice et d’égalité demeurent cruciales, indépendamment des figures qui incarnent l’opposition.



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